Présentation
Le coup de coeur de Visa pour l’Image
En 25 ans, par la personnalité de son fondateur Jean-François Leroy, le festival Visa pour l’Image - Perpignan est devenu chaque année le rendez-vous du photojournalisme. Cette manifestation a révélé de nombreux talents au public lors de ses expositions ou ses soirées de projections.
Les déserts d’Iran, du Yémen, du Tchad ou du Pérou, Georges Steinmetz les connait par coeur. Depuis quinze ans, ce fidèle de National Geographic a traversé en long et en large ces étendues vierges, ou presque, de toute civilisation.
Et pourtant, au milieu de ces « régions hyperarides » mais d’une beauté irréelle, il nous montre que la vie parvient à se maintenir dans les conditions les plus extrêmes.
Grâce à son ingénieux système de parachute motorisé, Steinmetz peut capter le gigantisme renversant de ces espaces qui présentent de nombreux points communs : les dunes de sable, les lacs salés, l’érosion éolienne, les ruines de civilisations perdues, des formes tenaces de faune ou de flore bien adaptées, l’appropriation par l’homme d’une nature rebelle.
Quand les déserts prennent des formes étrangement belles…
En 25 ans, par la personnalité de son fondateur Jean-François Leroy, le festival Visa pour l’Image - Perpignan est devenu chaque année le rendez-vous du photojournalisme. Cette manifestation a révélé de nombreux talents au public lors de ses expositions ou ses soirées de projections.
Les déserts d’Iran, du Yémen, du Tchad ou du Pérou, Georges Steinmetz les connait par coeur. Depuis quinze ans, ce fidèle de National Geographic a traversé en long et en large ces étendues vierges, ou presque, de toute civilisation.
Et pourtant, au milieu de ces « régions hyperarides » mais d’une beauté irréelle, il nous montre que la vie parvient à se maintenir dans les conditions les plus extrêmes.
Grâce à son ingénieux système de parachute motorisé, Steinmetz peut capter le gigantisme renversant de ces espaces qui présentent de nombreux points communs : les dunes de sable, les lacs salés, l’érosion éolienne, les ruines de civilisations perdues, des formes tenaces de faune ou de flore bien adaptées, l’appropriation par l’homme d’une nature rebelle.
Quand les déserts prennent des formes étrangement belles…