Présentation
Il est le précurseur du photojournalisme brésilien. Mort en 1923, Marc Ferrez aura immortalisé les prémices de la modernisation de son pays natal. Son travail a valeur de documentaire mais peut aussi s’apprécier comme une oeuvre artistique à part entière. Ses choix de cadrage et de composition, comme son utilisation de la lumière, ont participé à créer les bases de ce nouvel art. Il a également activement participé à l’essor de cette nouvelle technologie qu’était, à l’époque, la photographie. Son oeuvre, riche de plus de quatre mille négatifs sur plaque de verre, est conservée par l’Instituto Moreira Salles, à Rio de Janeiro.
«Avec le soutien de l'Instituto Moreira Salles»
Le Brésil est aujourd’hui l’une des plus grandes puissances mondiales. Mais ici, c’est un pays encore vierge que l’on peut voir à travers l’oeil de Marc Ferrez. Ce fameux « Nouveau monde ». Sur ces clichés en noir et blanc pris à la fin du XIXe siècle, quelques années seulement après l’invention de la photographie, on peut admirer la nature luxuriante et prolifique de ce pays tropical. On reconnait Rio, quand ce n’était encore qu’une petite station balnéaire jetée entre la mer et la jungle, à la fois au bord et l’océan et à flanc de montagne. L’homme n’a pas encore complètement altéré cette terre. Des panoramas aussi étonnants qu’idylliques s’étendent à perte de vue, mais on remarque les premiers édifices modernes apparaitre sur ces paysages paradisiaques. Comme des empreintes indélébiles laissées par le passage du progrès. Et si, en un siècle, l’homme a changé le Brésil, allant parfois jusqu’à l’abimer dans sa frénésie industrielle, il reste encore aujourd’hui de grandes parties de ce pays encore intactes, telle que Marc Ferrez les avaient jadis photographiées.
«Avec le soutien de l'Instituto Moreira Salles»
Le Brésil est aujourd’hui l’une des plus grandes puissances mondiales. Mais ici, c’est un pays encore vierge que l’on peut voir à travers l’oeil de Marc Ferrez. Ce fameux « Nouveau monde ». Sur ces clichés en noir et blanc pris à la fin du XIXe siècle, quelques années seulement après l’invention de la photographie, on peut admirer la nature luxuriante et prolifique de ce pays tropical. On reconnait Rio, quand ce n’était encore qu’une petite station balnéaire jetée entre la mer et la jungle, à la fois au bord et l’océan et à flanc de montagne. L’homme n’a pas encore complètement altéré cette terre. Des panoramas aussi étonnants qu’idylliques s’étendent à perte de vue, mais on remarque les premiers édifices modernes apparaitre sur ces paysages paradisiaques. Comme des empreintes indélébiles laissées par le passage du progrès. Et si, en un siècle, l’homme a changé le Brésil, allant parfois jusqu’à l’abimer dans sa frénésie industrielle, il reste encore aujourd’hui de grandes parties de ce pays encore intactes, telle que Marc Ferrez les avaient jadis photographiées.