Présentation
De Berlin aux studios de Hollywood, de Tokyo à Léopoldville, du Moscou soviétique à Saint-Tropez, de Willy Brandt à Romy Schneider, l’insatiable photographe Robert Lebeck parcourt le monde et ses personnages, le boitier en bandoulière et l’oeil toujours en alerte.
En voyageant aussi loin et souvent que possible, il met la deuxième moitié du XXe siècle dans le viseur de son appareil photo : bravant les fuseaux horaires, cet infatigable curieux du monde et des gens est de toutes les histoires et de toutes les rencontres ; il est sur les lieux, au bon endroit au bon moment, dès qu’il arrive quelque chose d’important au monde en général et à l’Allemagne en particulier.
Perpétuellement à l’affût, Lebeck a une approche spontanée de la photographie. Sa manière de travailler « sur le vif » lui a permis de gagner la confiance des personnalités, artistes comme politiques, dont il a réalisé le portrait et de dévoiler leur part de vérité.
De même, en s’intéressant non seulement à l’événement en soi, mais aussi aux marges, au par-delà la façade, aux personnages d’arrière-plan, Lebeck met dans ses images, ce moment de basculement, d’étrangeté, là où il y a tant d’autres choses à voir dans la scène représentée. En montrant l’anecdote qui révèle bien plus que l’événement voudrait bien le dire, il fait de ses photographies, devenues très célèbres, un raccourci en noir et blanc de l’histoire contemporaine.
En voyageant aussi loin et souvent que possible, il met la deuxième moitié du XXe siècle dans le viseur de son appareil photo : bravant les fuseaux horaires, cet infatigable curieux du monde et des gens est de toutes les histoires et de toutes les rencontres ; il est sur les lieux, au bon endroit au bon moment, dès qu’il arrive quelque chose d’important au monde en général et à l’Allemagne en particulier.
Perpétuellement à l’affût, Lebeck a une approche spontanée de la photographie. Sa manière de travailler « sur le vif » lui a permis de gagner la confiance des personnalités, artistes comme politiques, dont il a réalisé le portrait et de dévoiler leur part de vérité.
De même, en s’intéressant non seulement à l’événement en soi, mais aussi aux marges, au par-delà la façade, aux personnages d’arrière-plan, Lebeck met dans ses images, ce moment de basculement, d’étrangeté, là où il y a tant d’autres choses à voir dans la scène représentée. En montrant l’anecdote qui révèle bien plus que l’événement voudrait bien le dire, il fait de ses photographies, devenues très célèbres, un raccourci en noir et blanc de l’histoire contemporaine.