Présentation
Spike Walker a commencé à faire des photos en 1947, alors qu'il avait 12 ans. Depuis, il ne se sépare jamais de son appareil. Il s'est toujours intéressé aux objets minuscules et a remporté le prix de la Royal Photographic Society du Royaume Uni.
Spike Walker
Exposition
Hymne à la terre
Quand l’infiniment petit tutoie l’infiniment grand ? Les clichés de Spike Walker, et ses objectifs qui bouleversent les perspectives, se jouent de cette confusion et troublent la perception du monde qui nous entoure. Professeur à la retraite, passionné de photo- graphie, Spike Walker a été primé en 2010, puis à nouveau en 2016, par la Royal Photographic Society britannique pour son exceptionnelle contribution à la photographie et ses applications au service de la médecine. «J’ai reçu mon premier microscope quand j’avais 12 ans, raconte-t-il. Et j’ai rapidement voulu rendre intelligible ce monde scientifique et complexe qui me fascinait ». Et de nous dévoiler cette vie que l’on ne voit pas, avec ces fabuleuses images microscopiques d’organismes vivants. Exposées sur grand format, elles répondent étrangement à celles satellitaires de notre Terre, réalisées par Thomas Pesquet.
Plus grand que la vie
Ces minuscules guêpes parasitoïdes pondent leurs œufs dans ceux d’autres insectes. Ce sont les plus petits insectes volants et cette femelle a une envergure d’à peine 4 mm. Cette image a remporté le premier prix du concours de photomicrographie Olympus Bioscapes en 2008.Quand l’infiniment petit tutoie l’infiniment grand ? Les clichés de Spike Walker, et ses objectifs qui bouleversent les perspectives, se jouent de cette confusion et troublent la perception du monde qui nous entoure. Professeur à la retraite, passionné de photo- graphie, Spike Walker a été primé en 2010, puis à nouveau en 2016, par la Royal Photographic Society britannique pour son exceptionnelle contribution à la photographie et ses applications au service de la médecine. «J’ai reçu mon premier microscope quand j’avais 12 ans, raconte-t-il. Et j’ai rapidement voulu rendre intelligible ce monde scientifique et complexe qui me fascinait ». Et de nous dévoiler cette vie que l’on ne voit pas, avec ces fabuleuses images microscopiques d’organismes vivants. Exposées sur grand format, elles répondent étrangement à celles satellitaires de notre Terre, réalisées par Thomas Pesquet.