Hollande
Arctique : Nouvelle Frontière
Une double expédition polaire
© Kadir van Lohuizen / NOOR pour la Fondation Carmignac
Si l’Arctique est considéré comme une « sentinelle » du changement climatique, c’est en raison de l’amplification du réchauffement sans précédent que connaît cette région du monde avec des conséquences planétaires tant en termes d’élévation du niveau de la mer, de gaz à effet de serre, que de bouleversements géopolitiques. De la fonte des glaces à l’ouverture de nouvelles routes commerciales et touristiques en passant par la militarisation, l’exploitation des ressources ou l’impact sur les peuples autochtones, ce travail réalisé de concert par le Russe Yuri Kozyrev et le Néerlandais Kadir van Lohuizen permet, pour la toute première fois, grâce au soutien du Prix Carmignac du photojournalisme, d’avoir une vision globale de l’état de la région aujourd’hui. Deux photoreporters membres du collectif NOOR, deux aventures. L’une par le côté Russe, l’autre par le passage occidental. Un voyage de six mois et de 15 000 kilomètres autour du cercle arctique.
Avec le soutien de la Fondation Carmignac.
Arctique : Nouvelle frontière - Une double expédition polaire
Pays-Bas / nés en 1963Arctique : Nouvelle Frontière
Une double expédition polaire
© Kadir van Lohuizen / NOOR pour la Fondation Carmignac
Si l’Arctique est considéré comme une « sentinelle » du changement climatique, c’est en raison de l’amplification du réchauffement sans précédent que connaît cette région du monde avec des conséquences planétaires tant en termes d’élévation du niveau de la mer, de gaz à effet de serre, que de bouleversements géopolitiques. De la fonte des glaces à l’ouverture de nouvelles routes commerciales et touristiques en passant par la militarisation, l’exploitation des ressources ou l’impact sur les peuples autochtones, ce travail réalisé de concert par le Russe Yuri Kozyrev et le Néerlandais Kadir van Lohuizen permet, pour la toute première fois, grâce au soutien du Prix Carmignac du photojournalisme, d’avoir une vision globale de l’état de la région aujourd’hui. Deux photoreporters membres du collectif NOOR, deux aventures. L’une par le côté Russe, l’autre par le passage occidental. Un voyage de six mois et de 15 000 kilomètres autour du cercle arctique.
Avec le soutien de la Fondation Carmignac.
Italie
Italie / né en 1979
Le domaine skiable des Dolomites en Italie, le Jourdain, la mer Morte et le Groenland ont un point commun : tous ces lieux sont les théâtres du phénomène que le photographe italien Marco Zorzanello désigne comme ceux du « tourisme climatique ». Alors que sur les montagnes italiennes la neige est réduite à peau de chagrin ; alors que le niveau de la mer intérieure salée d’Israël et de Jordanie atteint des niveaux bas jamais vus ; alors que la calotte glaciaire fond à vue d’oeil : les touristes continuent d’affluer dans ces régions du monde bouleversées par le réchauffement climatique. Derrière l’absurdité et l’aspect burlesque de ces photos, il y a une réalité bien plus grave. Celle de l’être humain naïf qui feint de nier l’évidence pour ne pas changer son mode de vie et n’agit pas en conséquence pour éviter la catastrophe annoncée. Marco Zorzanello est le lauréat 2018 du Prix Photo Fondation Yves Rocher en partenariat avec Visa pour l’Image. Une bourse de 8000 euros lui a été remise pour la réalisation de son opus sur le Groenland. Son travail est pour la première fois présenté dans sa totalité.
En partenariat avec la Fondation Yves Rocher.
Scénographie réalisée avec le soutien et l’expertise technique de la Menuiserie
Cardinal - Cardinal Edifice.
Tourisme climatique
Marco ZorzanelloItalie / né en 1979
Le domaine skiable des Dolomites en Italie, le Jourdain, la mer Morte et le Groenland ont un point commun : tous ces lieux sont les théâtres du phénomène que le photographe italien Marco Zorzanello désigne comme ceux du « tourisme climatique ». Alors que sur les montagnes italiennes la neige est réduite à peau de chagrin ; alors que le niveau de la mer intérieure salée d’Israël et de Jordanie atteint des niveaux bas jamais vus ; alors que la calotte glaciaire fond à vue d’oeil : les touristes continuent d’affluer dans ces régions du monde bouleversées par le réchauffement climatique. Derrière l’absurdité et l’aspect burlesque de ces photos, il y a une réalité bien plus grave. Celle de l’être humain naïf qui feint de nier l’évidence pour ne pas changer son mode de vie et n’agit pas en conséquence pour éviter la catastrophe annoncée. Marco Zorzanello est le lauréat 2018 du Prix Photo Fondation Yves Rocher en partenariat avec Visa pour l’Image. Une bourse de 8000 euros lui a été remise pour la réalisation de son opus sur le Groenland. Son travail est pour la première fois présenté dans sa totalité.
En partenariat avec la Fondation Yves Rocher.
Scénographie réalisée avec le soutien et l’expertise technique de la Menuiserie
Cardinal - Cardinal Edifice.
Russie - Hollande
Russie / nés en 1963
© Yuri Kozyrev / NOOR pour la Fondation Carmignac
Si l’Arctique est considéré comme une « sentinelle » du changement climatique, c’est en raison de l’amplification du réchauffement sans précédent que connaît cette région du monde avec des conséquences planétaires tant en termes d’élévation du niveau de la mer, de gaz à effet de serre, que de bouleversements géopolitiques. De la fonte des glaces à l’ouverture de nouvelles routes commerciales et touristiques en passant par la militarisation, l’exploitation des ressources ou l’impact sur les peuples autochtones, ce travail réalisé de concert par le Russe Yuri Kozyrev et le Néerlandais Kadir van Lohuizen permet, pour la toute première fois, grâce au soutien du Prix Carmignac du photojournalisme, d’avoir une vision globale de l’état de la région aujourd’hui. Deux photoreporters membres du collectif NOOR, deux aventures. L’une par le côté Russe, l’autre par le passage occidental. Un voyage de six mois et de 15 000 kilomètres autour du cercle arctique.
Avec le soutien de la Fondation Carmignac.
Arctique : Nouvelle frontière - Une double expédition polaire
Yuri KozyrevRussie / nés en 1963
© Yuri Kozyrev / NOOR pour la Fondation Carmignac
Si l’Arctique est considéré comme une « sentinelle » du changement climatique, c’est en raison de l’amplification du réchauffement sans précédent que connaît cette région du monde avec des conséquences planétaires tant en termes d’élévation du niveau de la mer, de gaz à effet de serre, que de bouleversements géopolitiques. De la fonte des glaces à l’ouverture de nouvelles routes commerciales et touristiques en passant par la militarisation, l’exploitation des ressources ou l’impact sur les peuples autochtones, ce travail réalisé de concert par le Russe Yuri Kozyrev et le Néerlandais Kadir van Lohuizen permet, pour la toute première fois, grâce au soutien du Prix Carmignac du photojournalisme, d’avoir une vision globale de l’état de la région aujourd’hui. Deux photoreporters membres du collectif NOOR, deux aventures. L’une par le côté Russe, l’autre par le passage occidental. Un voyage de six mois et de 15 000 kilomètres autour du cercle arctique.
Avec le soutien de la Fondation Carmignac.
France
France
Les ultimes frontières de notre monde ne sont pas dans le ciel, mais bel et bien sous la mer. Recouvrant 70% de notre planète et occupant 95% de l’espace vital terrestre, les océans sont les derniers endroits du globe qu’il nous reste à explorer. Avec ses multiples records du monde en apnée et son double titre de champion du monde, Guillaume Néry a rapidement été projeté sur le devant de la scène médiatique. Sur les réseaux sociaux, ses exploits sont suivis par des millions de personnes via des films tournés avec sa compagne, Julie Gautier. Suivi depuis ses débuts par le photographe Franck Seguin, rédacteur en chef du département photo de l’équipe, celui que l’on surnomme « l’homme qui marche sous l’eau » tente de sensibiliser l’opinion publique sur la fragilité des océans en sillonnant les mers et les sites d’exception. Un hymne au monde sous-marin et un plaidoyer pour la protection de la planète.
L'Homme qui marchait sous l'eau
Franck SeguinFrance
Les ultimes frontières de notre monde ne sont pas dans le ciel, mais bel et bien sous la mer. Recouvrant 70% de notre planète et occupant 95% de l’espace vital terrestre, les océans sont les derniers endroits du globe qu’il nous reste à explorer. Avec ses multiples records du monde en apnée et son double titre de champion du monde, Guillaume Néry a rapidement été projeté sur le devant de la scène médiatique. Sur les réseaux sociaux, ses exploits sont suivis par des millions de personnes via des films tournés avec sa compagne, Julie Gautier. Suivi depuis ses débuts par le photographe Franck Seguin, rédacteur en chef du département photo de l’équipe, celui que l’on surnomme « l’homme qui marche sous l’eau » tente de sensibiliser l’opinion publique sur la fragilité des océans en sillonnant les mers et les sites d’exception. Un hymne au monde sous-marin et un plaidoyer pour la protection de la planète.
France
France / née en 1988
« Ceux qui rêvent le jour sont conscients de plusieurs choses qui échappent à ceux qui ne rêvent que la nuit. » En citant Edgar Allan Poe pour présenter sa série Sleep Elevation, la photographe Maia Flore, membre de l’agence VU, annonce la couleur. Elle aurait pu citer tout aussi bien Lewis Caroll tant ses images présentées dans cette sélection sont empreintes de poésie et d’un étrange onirisme. Notamment formée à la prestigieuse école des Gobelins de Paris, elle allie l’art de la photographie avec une certaine maîtrise du montage, lui permettant ainsi de créer des ponts entre le réel et l’imaginaire. Des images apaisantes de corps flottant dans les airs comme des plumes qui nous emmènent de l’autre côté du miroir. Un exercice de style sur le rapport entre le corps et la nature : l’une des lignes de réflexion qui anime le Festival de La Gacilly depuis ses débuts.
Harmonies
Maia FloreFrance / née en 1988
« Ceux qui rêvent le jour sont conscients de plusieurs choses qui échappent à ceux qui ne rêvent que la nuit. » En citant Edgar Allan Poe pour présenter sa série Sleep Elevation, la photographe Maia Flore, membre de l’agence VU, annonce la couleur. Elle aurait pu citer tout aussi bien Lewis Caroll tant ses images présentées dans cette sélection sont empreintes de poésie et d’un étrange onirisme. Notamment formée à la prestigieuse école des Gobelins de Paris, elle allie l’art de la photographie avec une certaine maîtrise du montage, lui permettant ainsi de créer des ponts entre le réel et l’imaginaire. Des images apaisantes de corps flottant dans les airs comme des plumes qui nous emmènent de l’autre côté du miroir. Un exercice de style sur le rapport entre le corps et la nature : l’une des lignes de réflexion qui anime le Festival de La Gacilly depuis ses débuts.
Italie
Italie / Né en 1973
Valerio Vincenzo explore depuis une dizaine d’années les frontières européennes et les quelques 20 000 kilomètres de démarcations aujourd’hui estompées du fait de la libre circulation. Signifiées par une route, une clôture électrique, une rivière, de la peinture à même l’asphalte ou une borne kilométrique, ces frontières revêtent toutes les formes. En jouant avec les lignes d’horizon et les lignes de fuite, le photographe italien s’amuse à illustrer ces barrières qui n’en sont plus, à montrer ce que l’œil ne voit pas. Borderline est une ode à cette Europe qui connaît la paix et la liberté des peuples, à l’heure où les nations tendent à se refermer sur elles-mêmes.
Borderline, les frontière de la paix
Valerio VincenzoItalie / Né en 1973
Valerio Vincenzo explore depuis une dizaine d’années les frontières européennes et les quelques 20 000 kilomètres de démarcations aujourd’hui estompées du fait de la libre circulation. Signifiées par une route, une clôture électrique, une rivière, de la peinture à même l’asphalte ou une borne kilométrique, ces frontières revêtent toutes les formes. En jouant avec les lignes d’horizon et les lignes de fuite, le photographe italien s’amuse à illustrer ces barrières qui n’en sont plus, à montrer ce que l’œil ne voit pas. Borderline est une ode à cette Europe qui connaît la paix et la liberté des peuples, à l’heure où les nations tendent à se refermer sur elles-mêmes.
France
France / né en 1975
Nous avons tendance à l’oublier : si ce sont les humains qui détruisent l’environnement, ce sont aussi eux qui le défendent. Partout dans le monde, et alors que l’urgence de la situation n’a jamais été aussi pressante, des hommes et des femmes agissent pour endiguer la détérioration de notre planète. Et le Morbihan ne fait pas exception. Agriculteurs, activistes, apiculteurs, éleveurs, marins, gardiens d’une île ou gardes forestiers… Eric Garault, à la fois portraitiste et reporter, est parti tout un été à la rencontre de ces sentinelles du Morbihan. Celles et ceux qui, chacun à leur manière, participent à entretenir et à défendre le patrimoine naturel unique de cette région de Bretagne. Des profils différents mais toujours atypiques. Des parcours d’individus qui forcent respect et admiration, et qui inspirent à les suivre dans leur démarche et leur état d’esprit salvateurs.
Commande photographique réalisée avec le soutien du Conseil départemental du Morbihan.
Les sentinelles du Morbihan
Eric GaraultFrance / né en 1975
Nous avons tendance à l’oublier : si ce sont les humains qui détruisent l’environnement, ce sont aussi eux qui le défendent. Partout dans le monde, et alors que l’urgence de la situation n’a jamais été aussi pressante, des hommes et des femmes agissent pour endiguer la détérioration de notre planète. Et le Morbihan ne fait pas exception. Agriculteurs, activistes, apiculteurs, éleveurs, marins, gardiens d’une île ou gardes forestiers… Eric Garault, à la fois portraitiste et reporter, est parti tout un été à la rencontre de ces sentinelles du Morbihan. Celles et ceux qui, chacun à leur manière, participent à entretenir et à défendre le patrimoine naturel unique de cette région de Bretagne. Des profils différents mais toujours atypiques. Des parcours d’individus qui forcent respect et admiration, et qui inspirent à les suivre dans leur démarche et leur état d’esprit salvateurs.
Commande photographique réalisée avec le soutien du Conseil départemental du Morbihan.
Espagne
Espagne / né en 1958
Au Portugal, de nombreuses terres agricoles ont été de plus en plus délaissées par les propriétaires, laissant place à de vastes territoires forestiers. L’activité papetière étant très importante et très rentable dans le pays, une monoculture intensive de pins maritimes, mais surtout d’eucalyptus s’est rapidement développée. L’eucalyptus, arbre nécessaire à la fabrication du papier, est aussi extrêmement invasif et hautement inflammable. Confronté depuis quelques années à des canicules importantes en été, le Portugal fait aussi face à une recrudescence de feux de forêts, toujours plus intenses, toujours plus dévastateurs… toujours plus meurtriers. Pour la Fondation Yves Rocher, le photographe espagnol Juan Manuel Castro Prieto, membre de l’agence Vu, s’est rendu dans les forêts dévastées de la région de Monchique, dans le sud du pays, pour témoigner des ravages de ce fléau et rencontrer celles et ceux qui luttent pour l’endiguer. Avec son style si particulier, d’inspiration documentaire et artistique, Castro Prieto apporte sa touche pleine d’humanité à cette nature ravagée.
En partenariat avec la Fondation Yves Rocher.
Portugal, renaître de ses cendres
Juan Manuel Castro PrietoEspagne / né en 1958
Au Portugal, de nombreuses terres agricoles ont été de plus en plus délaissées par les propriétaires, laissant place à de vastes territoires forestiers. L’activité papetière étant très importante et très rentable dans le pays, une monoculture intensive de pins maritimes, mais surtout d’eucalyptus s’est rapidement développée. L’eucalyptus, arbre nécessaire à la fabrication du papier, est aussi extrêmement invasif et hautement inflammable. Confronté depuis quelques années à des canicules importantes en été, le Portugal fait aussi face à une recrudescence de feux de forêts, toujours plus intenses, toujours plus dévastateurs… toujours plus meurtriers. Pour la Fondation Yves Rocher, le photographe espagnol Juan Manuel Castro Prieto, membre de l’agence Vu, s’est rendu dans les forêts dévastées de la région de Monchique, dans le sud du pays, pour témoigner des ravages de ce fléau et rencontrer celles et ceux qui luttent pour l’endiguer. Avec son style si particulier, d’inspiration documentaire et artistique, Castro Prieto apporte sa touche pleine d’humanité à cette nature ravagée.
En partenariat avec la Fondation Yves Rocher.
France
France / né en 1970
La déforestation ignore les frontières. Elle sévit partout, même en Europe.
En Pologne, qui abrite notamment la plus grande et la plus vieille forêt primaire d’Europe, mais également en Roumanie, qui héberge deux tiers des dernières forêts primaires du continent (hors Russie). En Ukraine aussi, où le trafic de l’ambre dévaste aveuglément des hectares entiers de surface forestière. Pour témoigner de la mise en péril de cet héritage et de ce patrimoine biologique et écologique unique, vieux de plusieurs milliers d’années, Guillaume Herbaut s’est lancé avec le soutien de la Fondation Yves Rocher dans ce road-trip photographique. De Pripiat et Tchernobyl en Ukraine jusqu’à la forêt de Gemenc en Hongrie, il raconte les enjeux écologiques, économiques et sociologiques majeurs qui se jouent dans la lutte contre la déforestation.
A l'Est, les forêt font de la résistance
Guillaume HerbautFrance / né en 1970
La déforestation ignore les frontières. Elle sévit partout, même en Europe.
En Pologne, qui abrite notamment la plus grande et la plus vieille forêt primaire d’Europe, mais également en Roumanie, qui héberge deux tiers des dernières forêts primaires du continent (hors Russie). En Ukraine aussi, où le trafic de l’ambre dévaste aveuglément des hectares entiers de surface forestière. Pour témoigner de la mise en péril de cet héritage et de ce patrimoine biologique et écologique unique, vieux de plusieurs milliers d’années, Guillaume Herbaut s’est lancé avec le soutien de la Fondation Yves Rocher dans ce road-trip photographique. De Pripiat et Tchernobyl en Ukraine jusqu’à la forêt de Gemenc en Hongrie, il raconte les enjeux écologiques, économiques et sociologiques majeurs qui se jouent dans la lutte contre la déforestation.
France
France / née en 1978
« L’arbre guérit, l’arbre nourrit, l’arbre regénère, l’arbre accueille l’esprit des défunts », prévient un dicton togolais. Le visiteur peut penser, au premier abord, qu’une harmonie s’est instaurée au fil du temps entre le peuple de ce petit pays d’Afrique de l’Ouest et son environnement. La région des Plateaux offre l’image d’une forêt tropicale idyllique avec ses cascades nichées au cœur d’une végétation luxuriante. Et pourtant. Le déboisement fait disparaître 15 000 hectares chaque année et le recours aux engrais censés optimiser la production a entraîné une dégradation des sols cultivés. La photojournaliste Axelle de Russé, reconnue pour son travail sur les grands maux de nos sociétés, s’est rendue dans la région de Kpalimé pour montrer le quotidien d’un monde paysan qui refuse de voir mourir ses terres en plantant dans les champs des arbres fertilitaires, fixateurs d’azote. Ce programme, initié par l’ONG APAF (Association pour la promotion des arbres fertilitaires, de l’agroforesterie
et la foresterie) et soutenu par la Fondation Yves Rocher, a pour objectif de planter 1,7 million d’arbres d’ici 2020 et permet déjà de faire vivre 25 000 producteurs dans tout le pays. Gros plan sur ces nouveaux adeptes de l’agroforesterie en Afrique qui se révèlent les précurseurs de la renaissance de tout un continent.
Togo, les jardiniers de la forêt
Axelle de RusséFrance / née en 1978
« L’arbre guérit, l’arbre nourrit, l’arbre regénère, l’arbre accueille l’esprit des défunts », prévient un dicton togolais. Le visiteur peut penser, au premier abord, qu’une harmonie s’est instaurée au fil du temps entre le peuple de ce petit pays d’Afrique de l’Ouest et son environnement. La région des Plateaux offre l’image d’une forêt tropicale idyllique avec ses cascades nichées au cœur d’une végétation luxuriante. Et pourtant. Le déboisement fait disparaître 15 000 hectares chaque année et le recours aux engrais censés optimiser la production a entraîné une dégradation des sols cultivés. La photojournaliste Axelle de Russé, reconnue pour son travail sur les grands maux de nos sociétés, s’est rendue dans la région de Kpalimé pour montrer le quotidien d’un monde paysan qui refuse de voir mourir ses terres en plantant dans les champs des arbres fertilitaires, fixateurs d’azote. Ce programme, initié par l’ONG APAF (Association pour la promotion des arbres fertilitaires, de l’agroforesterie
et la foresterie) et soutenu par la Fondation Yves Rocher, a pour objectif de planter 1,7 million d’arbres d’ici 2020 et permet déjà de faire vivre 25 000 producteurs dans tout le pays. Gros plan sur ces nouveaux adeptes de l’agroforesterie en Afrique qui se révèlent les précurseurs de la renaissance de tout un continent.
France
France / 1860-1928
Sur ces images, même l’intemporel noir et blanc semble comme suranné par l’épreuve du temps. Recueillies par les archives du Conseil départemental du Morbihan, elles ont été produites par Alphonse David, né à Vannes en 1860. Propriétaire d’une librairie, éditeur d’ouvrages sur la Bretagne, il collabora avec un photographe, monsieur Cardinal, avec qui il commença à éditer des cartes postales. Il parcourut l’ensemble du département, immortalisa les pêcheurs de Lorient, les fêtes religieuses, les paysans dans les travaux des champs, les conscrits dans leur casernement, les monuments et les confréries. Sur négatifs souples et plaques de verre, on redécouvre des fragments de cette Bretagne du début du XXe siècle, à l’heure où la photographie n’en était encore qu’à ses balbutiements. Une déambulation dans le Morbihan d’il y a 100 ans ; un voyage photographique à travers le temps.
Avec le soutien des Archives départementales du Morbihan.
Il y a 100 ans, le Morbihan
Alphonse DavidFrance / 1860-1928
Sur ces images, même l’intemporel noir et blanc semble comme suranné par l’épreuve du temps. Recueillies par les archives du Conseil départemental du Morbihan, elles ont été produites par Alphonse David, né à Vannes en 1860. Propriétaire d’une librairie, éditeur d’ouvrages sur la Bretagne, il collabora avec un photographe, monsieur Cardinal, avec qui il commença à éditer des cartes postales. Il parcourut l’ensemble du département, immortalisa les pêcheurs de Lorient, les fêtes religieuses, les paysans dans les travaux des champs, les conscrits dans leur casernement, les monuments et les confréries. Sur négatifs souples et plaques de verre, on redécouvre des fragments de cette Bretagne du début du XXe siècle, à l’heure où la photographie n’en était encore qu’à ses balbutiements. Une déambulation dans le Morbihan d’il y a 100 ans ; un voyage photographique à travers le temps.
Avec le soutien des Archives départementales du Morbihan.