Présentation
Brésil - Né en 1965
Au-delà du réel
Vertigineuses images que celles de ce photographe brésilien. Fort heureusement, la plupart ne sont pas réelles. Comme celle, étourdissante, d’un tarmac imaginaire où les 250 avions forment un impossible entrelacs de carlingues qui laisse présager, peut-être, un futur cauchemardesque. 800 heures de travail auront été nécessaires à la création de ce cliché. L’auteur, fasciné par les chiffres délirants de notre monde ultra-moderne, s’emploie à les illustrer. Dans la même série Collectives, une photo de 50 000 voitures alignées ébahit celui qui la contemple... alors qu’elle ne représente, finalement, qu’un petit pourcent des 5 millions de véhicules recensés à São Paulo, la ville natale de l’artiste. Amoureux de la photographie aérienne, explorant cet univers industriel jusqu’à l’outrance, Vasconcellos aime brouiller les pistes et les styles. En confrontation avec cette vision apocalyptique d’un monde dominé par la machine, il nous oppose cette série, Un voyage pittoresque au travers du Brésil. Cet ensemble aux couleurs monochromes sur la forêt primitive brésilienne rend hommage à son arrière-arrière-grand-père, botaniste du 19e siècle qui accompagna les expéditions de l'explorateur Ludwig Riedel. Inspirés des gravures réalisées dans les années 1820 par le comte de Clarac, archéologue et savant français, ces visuels nous plongent instantanément dans un espace naturel d’un autre temps, comme pour témoigner de son extinction en cours.
Au-delà du réel
Vertigineuses images que celles de ce photographe brésilien. Fort heureusement, la plupart ne sont pas réelles. Comme celle, étourdissante, d’un tarmac imaginaire où les 250 avions forment un impossible entrelacs de carlingues qui laisse présager, peut-être, un futur cauchemardesque. 800 heures de travail auront été nécessaires à la création de ce cliché. L’auteur, fasciné par les chiffres délirants de notre monde ultra-moderne, s’emploie à les illustrer. Dans la même série Collectives, une photo de 50 000 voitures alignées ébahit celui qui la contemple... alors qu’elle ne représente, finalement, qu’un petit pourcent des 5 millions de véhicules recensés à São Paulo, la ville natale de l’artiste. Amoureux de la photographie aérienne, explorant cet univers industriel jusqu’à l’outrance, Vasconcellos aime brouiller les pistes et les styles. En confrontation avec cette vision apocalyptique d’un monde dominé par la machine, il nous oppose cette série, Un voyage pittoresque au travers du Brésil. Cet ensemble aux couleurs monochromes sur la forêt primitive brésilienne rend hommage à son arrière-arrière-grand-père, botaniste du 19e siècle qui accompagna les expéditions de l'explorateur Ludwig Riedel. Inspirés des gravures réalisées dans les années 1820 par le comte de Clarac, archéologue et savant français, ces visuels nous plongent instantanément dans un espace naturel d’un autre temps, comme pour témoigner de son extinction en cours.
© Cássio Vasconcellos, série Collectives
Exposition
Viva Latina !
Vertigineuses images que celles de ce photographe brésilien. Fort heureusement, la plupart ne sont pas réelles. Comme celle, étourdissante, d’un tarmac imaginaire où les 250 avions forment un impossible entrelacs de carlingues qui laisse présager, peut-être, un futur cauchemardesque. 800 heures de travail auront été nécessaires à la création de ce cliché. L’auteur, fasciné par les chiffres délirants de notre monde ultra-moderne, s’emploie à les illustrer. Dans la même série Collectives, une photo de 50 000 voitures alignées ébahit celui qui la contemple... alors qu’elle ne représente, finalement, qu’un petit pourcent des 5 millions de véhicules recensés à São Paulo, la ville natale de l’artiste. Amoureux de la photographie aérienne, explorant cet univers industriel jusqu’à l’outrance, Vasconcellos aime brouiller les pistes et les styles. En confrontation avec cette vision apocalyptique d’un monde dominé par la machine, il nous oppose cette série, Un voyage pittoresque au travers du Brésil. Cet ensemble aux couleurs monochromes sur la forêt primitive brésilienne rend hommage à son arrière-arrière-grand-père, botaniste du 19e siècle qui accompagna les expéditions de l'explorateur Ludwig Riedel. Inspirés des gravures réalisées dans les années 1820 par le comte de Clarac, archéologue et savant français, ces visuels nous plongent instantanément dans un espace naturel d’un autre temps, comme pour témoigner de son extinction en cours.
Au-delà du réel
Brésil - Né en 1965Vertigineuses images que celles de ce photographe brésilien. Fort heureusement, la plupart ne sont pas réelles. Comme celle, étourdissante, d’un tarmac imaginaire où les 250 avions forment un impossible entrelacs de carlingues qui laisse présager, peut-être, un futur cauchemardesque. 800 heures de travail auront été nécessaires à la création de ce cliché. L’auteur, fasciné par les chiffres délirants de notre monde ultra-moderne, s’emploie à les illustrer. Dans la même série Collectives, une photo de 50 000 voitures alignées ébahit celui qui la contemple... alors qu’elle ne représente, finalement, qu’un petit pourcent des 5 millions de véhicules recensés à São Paulo, la ville natale de l’artiste. Amoureux de la photographie aérienne, explorant cet univers industriel jusqu’à l’outrance, Vasconcellos aime brouiller les pistes et les styles. En confrontation avec cette vision apocalyptique d’un monde dominé par la machine, il nous oppose cette série, Un voyage pittoresque au travers du Brésil. Cet ensemble aux couleurs monochromes sur la forêt primitive brésilienne rend hommage à son arrière-arrière-grand-père, botaniste du 19e siècle qui accompagna les expéditions de l'explorateur Ludwig Riedel. Inspirés des gravures réalisées dans les années 1820 par le comte de Clarac, archéologue et savant français, ces visuels nous plongent instantanément dans un espace naturel d’un autre temps, comme pour témoigner de son extinction en cours.