Présentation
Les dernières gueules noires de Pologne
Elle a longtemps été considérée comme la fierté nationale de la Pologne. L’industrie minière de ce pays d’Europe de l’Est est pourtant aujourd’hui en déclin. À l’heure de la gloire du capitalisme et de l’urgence cruciale du développement des énergies propres, ces mineurs sont de moins en moins nombreux – mais toujours éminemment respectés, autant qu’un enseignant ou un médecin. 100 000 contre 400 000 en 1990, ces travailleurs de l’industrie du charbon produisent néanmoins 80 % de l’électricité du pays.
Depuis les entrailles de la terre où l’on progresse dans une chaleur étouffante en pataugeant dans la boue jusqu’aux villes de Radlin, Budryk, Bytom et ces bâtiments aux briques noircies par la pollution, la photographe polonaise Kasia Strek est partie explorer les réminiscences d’un monde en train de disparaître.
Elle a longtemps été considérée comme la fierté nationale de la Pologne. L’industrie minière de ce pays d’Europe de l’Est est pourtant aujourd’hui en déclin. À l’heure de la gloire du capitalisme et de l’urgence cruciale du développement des énergies propres, ces mineurs sont de moins en moins nombreux – mais toujours éminemment respectés, autant qu’un enseignant ou un médecin. 100 000 contre 400 000 en 1990, ces travailleurs de l’industrie du charbon produisent néanmoins 80 % de l’électricité du pays.
Depuis les entrailles de la terre où l’on progresse dans une chaleur étouffante en pataugeant dans la boue jusqu’aux villes de Radlin, Budryk, Bytom et ces bâtiments aux briques noircies par la pollution, la photographe polonaise Kasia Strek est partie explorer les réminiscences d’un monde en train de disparaître.
© Kasia Strek
Exposition
A l'Est du nouveau
Pologne / née en 1989
Elle a longtemps été considérée comme la fierté nationale de la Pologne. L’industrie minière de ce pays d’Europe de l’Est est pourtant aujourd’hui en déclin. À l’heure de la gloire du capitalisme et de l’urgence cruciale du développement des énergies propres, ces mineurs sont de moins en moins nombreux – mais toujours éminemment respectés, autant qu’un enseignant ou un médecin. 100 000 contre 400 000 en 1990, ces travailleurs de l’industrie du charbon produisent néanmoins 80 % de l’électricité du pays.
Depuis les entrailles de la terre où l’on progresse dans une chaleur étouffante en pataugeant dans la boue jusqu’aux villes de Radlin, Budryk, Bytom et ces bâtiments aux briques noircies par la pollution, la photographe polonaise Kasia Strek est partie explorer les réminiscences d’un monde en train de disparaître
Les dernières gueules noires de Pologne
Kasia StrekPologne / née en 1989
Elle a longtemps été considérée comme la fierté nationale de la Pologne. L’industrie minière de ce pays d’Europe de l’Est est pourtant aujourd’hui en déclin. À l’heure de la gloire du capitalisme et de l’urgence cruciale du développement des énergies propres, ces mineurs sont de moins en moins nombreux – mais toujours éminemment respectés, autant qu’un enseignant ou un médecin. 100 000 contre 400 000 en 1990, ces travailleurs de l’industrie du charbon produisent néanmoins 80 % de l’électricité du pays.
Depuis les entrailles de la terre où l’on progresse dans une chaleur étouffante en pataugeant dans la boue jusqu’aux villes de Radlin, Budryk, Bytom et ces bâtiments aux briques noircies par la pollution, la photographe polonaise Kasia Strek est partie explorer les réminiscences d’un monde en train de disparaître