Présentation
« Une bonne photographie est celle qui communique un fait, touche le coeur du spectateur et le transforme. En un mot, c’est une photographie efficace. »
Dans les pas d’Irving Penn, qu’il aime à citer, Jan C. Schlegel voyage en Afrique, puis en Asie, à la rencontre des gens. Car dès 14 ans, il décidait qu’il serait photographe, qu’il ferait du portrait, qu’il travaillerait le noir et blanc, avec la découverte des travaux de Walter Schels et Toni Schneiders. C’est ainsi qu’il inscrit et construit sa démarche, et, tel un alchimiste, allant du terrain au laboratoire, il expérimente, cherche, transforme, révèle.
Car Schlegel a choisi d’arpenter les contrées du monde pour aller à la rencontre des gens tels qu’ils sont, en quelque sorte « bruts », dans les habits et maquillage qui sont les leurs, sans ajouts ou retouche du costume, sans effet créé artificiellement. La captation du portrait se fait là, sur place, au marché, à la maison, au milieu du village, ou sur le bord de la route. Peu importe : le contexte ni les circonstances ne sont dans le cadre. Seule compte, alors, la personne pour elle-même, pour sa beauté, dans sa vérité. C’est précisément cela qui détermine le cadrage de Schlegel.
Puis vient le travail au laboratoire, où le photographe avec patience et respect, peaufine le contraste, sublime les couleurs, embellit les lumières, affine grains, brillances, reflets, matières, peaux,... jusqu’à l’obtention de l’émotion sensible, celle du point d’équilibre, de ce sentiment de perfection.
Alors vient l’image où l’on voit la beauté révélée.
Dans les pas d’Irving Penn, qu’il aime à citer, Jan C. Schlegel voyage en Afrique, puis en Asie, à la rencontre des gens. Car dès 14 ans, il décidait qu’il serait photographe, qu’il ferait du portrait, qu’il travaillerait le noir et blanc, avec la découverte des travaux de Walter Schels et Toni Schneiders. C’est ainsi qu’il inscrit et construit sa démarche, et, tel un alchimiste, allant du terrain au laboratoire, il expérimente, cherche, transforme, révèle.
Car Schlegel a choisi d’arpenter les contrées du monde pour aller à la rencontre des gens tels qu’ils sont, en quelque sorte « bruts », dans les habits et maquillage qui sont les leurs, sans ajouts ou retouche du costume, sans effet créé artificiellement. La captation du portrait se fait là, sur place, au marché, à la maison, au milieu du village, ou sur le bord de la route. Peu importe : le contexte ni les circonstances ne sont dans le cadre. Seule compte, alors, la personne pour elle-même, pour sa beauté, dans sa vérité. C’est précisément cela qui détermine le cadrage de Schlegel.
Puis vient le travail au laboratoire, où le photographe avec patience et respect, peaufine le contraste, sublime les couleurs, embellit les lumières, affine grains, brillances, reflets, matières, peaux,... jusqu’à l’obtention de l’émotion sensible, celle du point d’équilibre, de ce sentiment de perfection.
Alors vient l’image où l’on voit la beauté révélée.