Présentation

C’est en mai 2009 qu’il est sélectionné pour devenir astronaute. Il entre à l’ESA en septembre 2009 et achève sa formation initiale en novembre 2010. Une fois diplômé, il travaille comme Eurocom, qui est le responsable des communications avec les astronautes pendant les vols depuis le centre de contrôle des missions. Il est également chargé des futurs projets au Centre des astronautes européens (EAC), notamment de la mise en place de la coopération avec de nouveaux partenaires, comme la Chine. Du 17 novembre 2016 à juin 2017, Thomas est affecté à une mission de longue durée (environ 6 mois) à bord de la Station spatiale internationale, la mission Proxima !

« Participer à l’exploration spatiale est pour moi un engagement envers l’avenir. Nous devons bien sûr penser au présent et mieux nous occuper de la Terre et de ses habitants, mais il ne faut pas pour autant négliger le futur ».
Thomas Pesquet Photo de profil
Thomas Pesquet - Mine d’extraction de sodium

Exposition

Thomas Pesquet - Mine d’extraction de sodium - Terre(s)
Hymne à la terre
Terre(s)
Au Botswana, dans un impressionnant désert de sel, les teintes de rouge d’une mine d’extraction de sodium apportent un contraste bienvenu. Un pourpre intense que je n’ai pu admirer qu’une ou deux fois, et toujours en Afrique.

Il a fait rêver des millions de Français, en relayant son aventure sur les réseaux sociaux. Thomas Pesquet, 40 ans, est spationaute de l’Agence spatiale européenne (ESA). Entre novembre 2016 et juin 2017, il a passé 196 jours à bord de la Station spatiale européenne (ISS), menant expériences, opérations de maintenance et sorties dans l’espace. Au-delà de sa mission scientifique, s’est révélé au grand public un photographe hors pair, un artiste d’une rare sensibilité. Car depuis l’espace, la planète s’offre en spectacle, minérale et végétale, aride et aquatique, sauvage et domestiquée. Cette Terre, notre fragile et ultime bien commun, s’est dévoilée sous son objectif six mois durant. D’étendues désertiques en parcelles cultivées par l’homme, d’îles émergeant de mers azuréennes en mégalopoles parées de leurs éclats nocturnes, on reste saisi par cette beauté menacée de notre monde.