Presentation
Trois ans d’écriture et de préparation, près de quatre ans de réalisation, plus de cinquante spots visités dans le monde, le film « Océans » de Jacques Perrin et Jacques Cluzaud restera sans conteste le documentaire événement de cette année 2010.
Filer à 10 noeuds au coeur d’un banc de thons en chasse, accompagner les dauphins dans leur folles cavalcades, nager avec le grand requin blanc épaule contre nageoire, le film « Océans », c’est être poisson parmi les poissons. Une oeuvre cinématographique doublée par des milliers de photographies que nous présentons en exclusivité à La Gacilly. En allant filmer dans les ultimes sanctuaires, Perrin et Cluzaud ont dévoilé un océan oublié, d’une richesse et d’une vitalité inouïe. En révélant la véritable essence des êtres vivants dans leur dynamique la plus folle, dans leurs relations les plus intimes, « Océans » fait resurgir la vie exubérante que nous retrouverons si nous avons la volonté de laisser aux animaux marins des espaces de liberté ! Une biodiversité aquatique où l’homme n’a pas, ne doit pas avoir sa place ! En cette Année internationale de la Biodiversité, le message de Jacques Perrin pour faire progresser les écosystèmes marins reste volontiers optimiste : « On sait que plus d’un tiers des espèces végétales et animales répertoriées sont menacées d’extinction. Les scientifiques nous le disent. Notre avenir n’est pas de les écouter, assis accablés dans notre fauteuil. Il faut être constructif, et il y a des raisons d’espérer. Les sanctuaires, ça fonctionne. Quand la mer est mise en jachère, que les activités humaines y sont proscrites, la vie repart. Nous l’avons constaté en tournant cette fresque.
Dans le film, les images de destruction durent dix minutes, c’est comme une gifle. Ce n’est pas la peine d’en rajouter. On passe à la volonté de faire autrement. Nous sommes au bord de la catastrophe, mais nous pouvons encore changer de direction. »
Filer à 10 noeuds au coeur d’un banc de thons en chasse, accompagner les dauphins dans leur folles cavalcades, nager avec le grand requin blanc épaule contre nageoire, le film « Océans », c’est être poisson parmi les poissons. Une oeuvre cinématographique doublée par des milliers de photographies que nous présentons en exclusivité à La Gacilly. En allant filmer dans les ultimes sanctuaires, Perrin et Cluzaud ont dévoilé un océan oublié, d’une richesse et d’une vitalité inouïe. En révélant la véritable essence des êtres vivants dans leur dynamique la plus folle, dans leurs relations les plus intimes, « Océans » fait resurgir la vie exubérante que nous retrouverons si nous avons la volonté de laisser aux animaux marins des espaces de liberté ! Une biodiversité aquatique où l’homme n’a pas, ne doit pas avoir sa place ! En cette Année internationale de la Biodiversité, le message de Jacques Perrin pour faire progresser les écosystèmes marins reste volontiers optimiste : « On sait que plus d’un tiers des espèces végétales et animales répertoriées sont menacées d’extinction. Les scientifiques nous le disent. Notre avenir n’est pas de les écouter, assis accablés dans notre fauteuil. Il faut être constructif, et il y a des raisons d’espérer. Les sanctuaires, ça fonctionne. Quand la mer est mise en jachère, que les activités humaines y sont proscrites, la vie repart. Nous l’avons constaté en tournant cette fresque.
Dans le film, les images de destruction durent dix minutes, c’est comme une gifle. Ce n’est pas la peine d’en rajouter. On passe à la volonté de faire autrement. Nous sommes au bord de la catastrophe, mais nous pouvons encore changer de direction. »