Presentation
« Je suis une enfant de l’Afrique protégée par le ciel étoilé et réveillée par le soleil levant. J’avais la nature pour professeur ».
Née en 1933 d’un père italien et d’une mère française, Mirella Ricciardi a grandi au Kenya où son père possédait une ferme de 2 000 hectares sur les rives du lac Naivasha. Dans les années 1950-1970, elle a sillonné tout le continent africain, saisissant des scènes de vie qui, par leur intimité, leur dignité, appartiennent aujourd’hui à l’héritage de l’humanité. En effet, le progrès et ce qui en découle sont la mort pour les coutumes du passé. Mirella avait, depuis longtemps, été consciente de cette menace pour le monde dans lequel elle avait grandi, déclarant : « J’éprouve des sentiments très profonds pour les extraordinaires ressources en beauté de l’Afrique. Avant qu’elles ne disparaissent complètement, je veux en conserver une partie, ne serait-ce qu’en images ».
Qu’il s’agisse d’une fresque sur les pêcheurs du lac Rodolphe, des habitudes immémoriales des nomades, de la façon dont on fait la cour à une femme, de la frénésie de la danse ou des mystères de la cérémonie masaï, nous avons exhumé ces clichés que Mirella conserve, chez elle, à Londres.
Née en 1933 d’un père italien et d’une mère française, Mirella Ricciardi a grandi au Kenya où son père possédait une ferme de 2 000 hectares sur les rives du lac Naivasha. Dans les années 1950-1970, elle a sillonné tout le continent africain, saisissant des scènes de vie qui, par leur intimité, leur dignité, appartiennent aujourd’hui à l’héritage de l’humanité. En effet, le progrès et ce qui en découle sont la mort pour les coutumes du passé. Mirella avait, depuis longtemps, été consciente de cette menace pour le monde dans lequel elle avait grandi, déclarant : « J’éprouve des sentiments très profonds pour les extraordinaires ressources en beauté de l’Afrique. Avant qu’elles ne disparaissent complètement, je veux en conserver une partie, ne serait-ce qu’en images ».
Qu’il s’agisse d’une fresque sur les pêcheurs du lac Rodolphe, des habitudes immémoriales des nomades, de la façon dont on fait la cour à une femme, de la frénésie de la danse ou des mystères de la cérémonie masaï, nous avons exhumé ces clichés que Mirella conserve, chez elle, à Londres.